Dans le café de la jeunesse perdue
Depuis l'annonce de son prix Nobel de littérature, j'avais à c½ur de découvrir l’½uvre de Modiano. En effet, à une exception près (désolée M. Camus, le bac de Français n'aura certainement pas contribué à améliorer nos relations...), j'ai apprécié tous les Nobelisés auxquels je me suis confrontée jusqu'à présent, de Faulkner à Mauriac sans oublier la génialissime Pearl Buck. Alors vous pensez bien qu'un prix Nobel, français et contemporain, j'étais littéralement incandescente !
La douche n'en fut que plus glaciale. Quelle déception ! Tous les ingrédients étaient pourtant réunis pour faire un bon, même un très bon bouquin. Une narration originale, une riche palette de pers...
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