Moll Flanders
Je ne vais pas vous mentir, ce roman est dur à lire. Plus de 500 pages de vieil anglais, même traduit (tenter cette lecture en VO ne m'a pas effleuré l'esprit, et bien m'en a pris !), ça use un peu le cerveau ! Pourtant je suis plutôt à l'aise avec la langue française, mais j'ai dû relire certains passages plusieurs fois pour en saisir le sens. Entre tournures grammaticalement alambiquées et métaphores vieillies, ce texte d'une grande richesse l'est parfois justement un peu trop, riche !
Néanmoins, pendant ce temps, j'avais assez de ruse pour ne donner lieu le moins du monde à personne de la famille d'imaginer que j'entretinsse la moindre correspondance avec lui.
Quelle sorte de tranquillité, ceux-là le jugeront le mieux qui entendent comment des gens peuvent être tranquilles qui en assassinent d'autres pour échapper au danger.
Cette richesse de la forme se retrouve tout autant dans le cont...
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